Veuillez patienter pendant que nous traitons votre requête
Fonds Sonia Sheridan
Procédé : Haloid Xerox
Sonia Sheridan devant le Haloid de Xerox, vers 1978, 1 épreuve photographique, n&b ; 8 X 10 cm. La Fondation Daniel Langlois pour l'art, la science et la technologie, fonds Sonia Landy Sheridan. 0501-1.
[Procédé : Haloid Xerox (portrait de Sonia Sheridan) / Sonia Landy Sheridan], ca. années 1970, 1 feuillet : impression sur papier ; 22 X 28 cm. Réalisé avec le photocopieur « Haloid » de Xerox. La fondation Daniel Langlois pour l'art, la science et la technologie, fonds Sonia Landy Sheridan. 0501-165
[Procédé : Haloid Xerox (portrait de Diane Kirkpatrick) / Sonia Landy Sheridan], ca. années 1970, 1 feuillet : impression sur papier ; 22 X 28 cm. Réalisé avec le photocopieur « Haloid » de Xerox. La fondation Daniel Langlois pour l'art, la science et la technologie, fonds Sonia Landy Sheridan. 0501-165
En 1973, Sheridan récupère un exemplaire de la chambre noire du photocopieur Haloid Xerox dans un magasin d’articles de bureau recyclés du gouvernement américain (a). Comme l’appareil est inutilisable sans ses trois autres modules, l’ingénieur Ed Kobs de Xerox lui procure une lentille, un module de développement et de chargement (« processor »), ainsi qu’un fixateur thermique (« fuser »). Sheridan utilisera principalement le Haloid pour produire des portraits sur papier Arches dont la richesse des gris (souvent solarisés) rappelle un dessin (b). À ce titre, elle rehaussera quelquefois ces impressions avec du fusain. Le procédé lui permettra également de multiplier des effets de double exposition au sein d’une même image (c).